Solo théâtral, spectacle tout public à partir de 14 ans pour une durée d'une heure. Jauge limitée à 100 spectateurs.

NOTE  D'INTENTION

Gisèle Halimi est morte le 28 juillet 2020 à 93 ans.

Sa parole doit rester vivante.

Tout au long de sa vie d'engagements et de luttes, cette "avocate irrespectueuse" comme elle s'est désignée dans le titre de l'un de ses ouvrages, a été animée d'un souffle, d'un entêtement : celui d'une "farouche liberté".

D'abord pour elle, petite fille insoumise au patriarcat tunisien, puis pour toutes celles et ceux qu'elle a défendus.

Tout particulièrement les femmes, tout particulièrement celles et ceux qui, de condition modeste, s'étaient engagés dans des causes dont l'époque, la morale, la justice parfois même, ne voulaient pas reconnaître la légitime demande celle d'une plus grande liberté.

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Tout particulièrement les femmes, tout particulièrement celles et ceux qui, de condition modeste, s'étaient engagés dans des causes dont l'époque, la morale, la justice parfois même, ne voulaient pas reconnaître la légitime demande celle d'une plus grande liberté.